Quelle que soit la production recherchée, aussi bien le lait que la viande, le parasitisme non contrôlé des animaux est à l’origine de manques à gagner voire même de pertes économiques. Pour favoriser la bonne santé des troupeaux et limiter les intrants dans l’économie de l’élevage, un protocole antiparasitaire adapté est conseillé. Celui-ci est basé sur une analyse multicritères : 

Tout d’abord 

– un bilan parasitaire en amont

Puis 

– l’établissement d’un protocole adapté selon :

– le mode de vie des animaux d’élevage

– les zones d’élevage

– les rotations de pâture

– la saison de vêlage et l’âge à la mise à l’herbe

– les moyens de contention

– …

Enfin

– le suivi de l’efficacité des mesures préventives employées pour des points de contrôle lors des périodes critiques.

« Traiter aussi peu que possible, aussi souvent que nécessaire. »

L’analyse individualisée du risque parasitaire de chaque élevage est aujourd’hui un des leviers pour atteindre l’objectif ONE HEALTH : santé animale, santé humaine, santé environnementale.